Aimer ce que l’on fait et faire ce que l’on aime
Aimer ce que l’on fait et faire ce que l’on aime. N’est-ce pas cela le plus important à réaliser dans une vie ? N’est-ce pas aussi la meilleure façon de s’aimer soi-même et d’aimer les autres ?
Bien sûr, l’on pourra rétorquer que l’on ne peut pas faire toujours faire ce que l’on veut dans la vie. Qu’il nous faut d’abord survivre en ce monde et que notre travail n’est pas toujours choisi.
Mais qu’est-ce qui nous empêche, si l’on n’est pas satisfait de notre vie, de la réorienter ? Rien ! Aux dernières nouvelles, nous vivons dans un pays démocratique et nos libertés ne sont pas bridées. Il n’y a alors que deux attitudes à tenir : j’aime ce que je fais et je vis dans la joie, ou je n’aime pas ce que je fais et je tente de changer cette situation. Si je n’y arrive pas, alors, je l’accepte et j’en prends toute la responsabilité, car je suis seul capitaine de mon navire.
Si tu as un problème et qu'il existe une solution, pourquoi te faire du souci ? Et si tu as un problème et qu'il n'existe pas de solution, pourquoi t'en soucier ? (Auteur inconnu )
Ah oui, mais bien sûr, reste le nerf de la guerre, l’argent ! Sans argent je ne peux rien faire. Certes, mais qui peut m’empêcher de gagner de l’argent ? Mon milieu social, mon éducation, mon absence de diplôme, mon Président, peut-être même mes parents, mes ennemis, la crise économique, la mondialisation, la dette de l’État... ?
Mais en cet instant même, qui peut m’empêcher de vivre, d’aimer ce que je fais et de faire ce que j’aime ? Voyons, j’ai beau chercher, je ne vois personne !
Ah si... moi ! C’est bien moi l’empêcheur d’être heureux en rond !
Alors, tout bien résumé, si je ne suis pas issu des ghettos de Soweto ou interné dans un camp de travail (encore que Nelson Mandela nous offre un merveilleux contre exemple)
Lourdement handicapé (même si l’éminent physicien théoricien Stephen William Hawking démontre le contraire...)
Frappé par une malédiction divine,
Lobotomisé au profit de la science,
Débarqué sur la planète Mars avec un kit de survie de 24 heures...
Qu’est-ce que j’attends alors pour aimer ce que je fais et faire ce que j’aime ?
Crédit photo : Pixabay